Le poème de Sophie, "spécial Infojunior !!!

Infojunior
J'n'ai pas eu tort
De m'y inscrire
Ça me fait rire
Chaque numéro
Toujours plus beau
Merveilleux sujets
Inintéressants jamais
Vraiment Infojunior
Tu es le plus fort !

Avec Vivien le rédacteur
On découvre les coups de cœurs
Des autres lecteurs
C'est vraiment le meilleur !

Dans ma boîte aux lettres tous les mois
Heureusement tu es là
Tu me remontes le moral
Quand au cœur j'ai un peu mal.

Un dernier petit message
Qui s'adresse à tous les surfeurs
Avec Infojunior plus de nuages
Il n'apporte que du bonheur
En plus il est gratuit
Et nous donne plein d'infos
Sur tous les pays
Pour les ados y'a pas photo !

Eh bien je t'envoie (et tous les lecteurs d'Infojunior avec moi) un super merci !!! Vivien :-)

Mon premier livre !

Je suis en 3° au Collège Fersen à Antibes, j'adore le théâtre que je pratique depuis 8 années, j'aimerais un jour devenir comédien, je travaille beaucoup pour y arriver et j'espère un jour briller !!

Je fais des représentations chaque fin d'année !! Je participe à tout les évènements de la Ville pour me faire connaître plus amplement !

L'oeil du loup

Salut, je m'appelle Laura et j'ai un livre à te conseiller :

L'oeil du loup de Daniel Pennac aux editions Pocket junior.

C'est l'histoire d'un jeune africain qui raconte son histoire à travers l'oeil d'un loup borgne. Ce livre est formidable! Beaucoup de sentiments, d'émotions, de mystères et d'aventures....

Un poète

Un poème de Boris Vian que Ghislaine m'a envoyé :

Un poète

C'est un être unique
A des tas d'exemplaires
Qui ne pense qu'en vers
Et n'ecrit qu'en musique
Sur des sujets divers
Des rouges ou des verts
Mais toujours magnifiques

Boris Vian

Les livres d'Audrey

Cher amis, je m'appelle Audrey et j'ai 13 ans, je voudrais vous conseiller quelques livres que j'ai lus et quej'ai adorés !

- Les portes de vannes par Évelyne brisou - Editions Pellen.
- L'hiver des loups par Évelyne brisou - Editions Pellen.
- Prisonnière des mongols par Évelyne brisou - Editions Pellen.
- A l'heure des chiens par Évelyne brisou - Editions Pellen.
- Les pèlerins maudits par Évelyne brisou - Editions Pellen.

Ces 5 livres se passent au moyen âge, dans l'ambiance des châteaux forts et des chevaliers.

- Un sac de billes de Joseph Joffo qui raconte l'histoire de 2 enfants durant la 2ème guerre mondiale.

- La guerre des boutons de Louis Pergaud est un livre comique avec une aventure.

Le poème de Karie

Sur la plage, il y a des coquillages
Dans la fôret, il y a des secrets
Dans la cour, il y a de l' amour
Dans le coeur, il y a du bonheur
Sur les cailloux, il y a la marque du houx

Karie Tester

Le passeur

C'est une histoire dans un monde où personne ne voit les couleurs... Un monde où on te donne sans que tu puisse les choisir : ton mari ou ta femme et même tes enfants.

Les familles s'appellent des cellules familiales, plus personne n'a de sentiments, de souvenirs ou d'émotions.

Tout ça est dirigé par le "comité".

A douze ans les enfants reçoivent leur métier et à chaque âge il y a un nouvel objet qu'il reçoivent (comme un vélo quand ils ont neuf ans).

Et il y a le "passeur", lui il possède les souvenirs de toutes les personnes qui vivaient avant que l'on fasse l'Identique, il voit les couleurs, il a des sentiments et des émotions mais il est exclu de tout.

Jonas (c'est le héros) va bientôt avoir douze ans et il va devenir le nouveau passeur.

Si vouv voulez le lire voici les renseignements : Le passeur de Lois Lowry, médium / l'école des loisirs.

Retour en haut de la page

La légende du Roi Arthur

Mon pseudo c'est Djinala, j'ai (bientôt) 13 ans et je voulais vous envoyer un texte, que j'ai écrit avec ma cousine.

Je voulais aussi vous conseiller mon site, il y a de tout : de l'actu, des stars, de l'écologie... Mais il est mi-nus-cule, car je ne peut pas faire beaucoup de choses seule !!!

C'est pourquoi je voudrais que vous le visitiez et que vous me donniez votre avis...

Allez ; @+ cyberamis !!!

Le site de Djinala :
http://perso.wanadoo.fr/delirmag/pub/

Voici ci-dessous son très joli texte sur la légende du Roi Arthur :

Autrefois, un bedeau nommé Brandy cheminait les ruelles de Paris. Chaque habitant le connaissait, mais aucun ne l'appréciait vraiment. Il n'avait qu'un seul ami : Hamlet, son chat qu'il chérissait, et duquel il ne pouvait point se séparer.

Mais bien sûr, cet amour ne suffisait pas contre la haine grandissante des hommes à son égard...

Pourtant, il possédait de nombreuses qualités, mis à part quelques défauts physiques.

Son teint, clair, révélait une dizaine de petits boutons noirs, qui semblaient avoir été soudés à son visage. Mais malgré ses cheveux souillés, ses dents déplacées et son nez aplati, il possédait du charme. Sa mine joviale et son éternel sourire y étaient certes pour beaucoup, mais ce qui ajoutait à sa "beauté", c'était ses grands yeux verts, brillants de joie, de souvenirs.

Un jour, alors qu'il relatait intérieurement son passé, une jeune fille l'approcha. Ses traits fins et réguliers émerveillèrent immédiatement l'homme qui, gêné, se tourna vers son chat, espérant que celui-ci ferait diversion en sautant férocement sur ses pattes, comme il le faisait parfois.

Hélas, Hamlet resta de pierre, fixant son maître de ses petits yeux gris.

La jeune fille, amusée par cet étonnant manège, ne souffla mot. Elle n'avait jamais vu, ni même entraperçu ce jouvenceau, mais sa mine étonnée lui était agréable et, plutôt que de chercher compagnie ailleurs, elle alla s'asseoir à côté du damoiseau.

Celui-ci, totalement bouleversé par la demoiselle se portant auprès de lui, s'empourpra. Il observa à la dérobée les gants de dentelle, la robe de popeline et se revit autrefois, il y a quelques années...

Maintenant, il avait 26 ans. Et le temps où il était chevalier, le temps ou il était à la cour, c'était avant. Avant sa disgrâce, avant tout.

Bien malgré lui, il pensa tristement aux jolies dames vêtues richement, aux éblouissants costumes en soie que portaient les hommes. Mais il songea aussi aux coups qu'il avait reçu injustement, à sa séparation avec Hélène, son amante. Oh, Hélène! Il se souvenait de ses yeux d'Azur, de ses cheveux d'or, de son teint velouté... Seul le père, le père cruel d'Hélène s'était opposé à leur amour.

"Tu es laid, très laid, mais tu possède quelque chose que personne d'autre ne possède : mon cœur..." Il entendait encore la voix douce d'Hélène prononçant cette phrase, qui lui avait tant de fois donné courage et force...

Les larmes se mirent à couler doucement. L'eau salée laissait des sillons clairs sur sa peau salie. Il essaya de sourire, comme il le faisait bien souvent lorsque la tristesse le submergeait, mais réussi tout juste à esquisser une grimace mélancolique.

Soudain, il songea à la belle qui se tenait à ses côtés. Il se leva; tel un ressort, et offrit son bras à sa compagne. Celle-ci, bien qu'ébahie devant ce brusque changement d'état, accepta néanmoins l'invitation à la marche avec joie.

Au cours de la promenade, Brandy s'arrêta émerveillé devant un somptueux château. Melle de Biancourt, voyant son ébahissement, déclara avec un sourire :

"Voici l'humble seigneurie de mon père, le comte de Biancourt. Vous m'avez l'air bien affligé, et j'ai pensé que la visite de ce domaine vous dériderait. Vous pourriez même y passé quelques jours si vous le souhaitez, car vous m'êtes agréable.

- Mon dieu, je n'oserais point !

- Voyons, vous ne gênerez personne! Mon père, j'en suis sûre, approuvera mon geste.

- Gente dame, ce sont les anges qui vous envoient!"

Il poussèrent la lourde porte du fort et Brandy cru défaillir en découvrant les tapis de fils de soie, les plateau en argent, les fines porcelaines gravées d'or et les meubles incrustés de rubis.

A l'étage, les chambres spacieuses étaient néanmoins sombres mais bien chauffées grâce aux fenêtres vitrées et au feu crépitant dans la cheminée.

Mais le plus spectaculaire fut le donjon; de là-haut, on pouvait observer les domaines des alentours, les rivières étincelantes qui bordaient les forêts aux mille couleurs.

A côté de ce paysage, des chevaux galopaient dans les prés, crinières aux vents. En se penchant, le bedeau apercevait la salle de garde et ses innombrables meurtrières...

Alors qu'il redescendait le hall une splendide jeune femme apparut sur le palier d'une des chambres. Ses yeux pervenche et son teint clair rappelaient quelqu'un au jeune homme… Sans doute une connaissance d'autrefois.

Mademoiselle de Biancourt conduisit le bedeau à sa chambre, et le laissa seul avec son chat et ses pensés. Il s'allongea sur le lit et contempla un tableau de Giotto. Mais il pensait toujours à la jeune fille qu'il avait entraperçu auparavant. Il tenta de mettre un nom sur ce visage, en vain.

Le lendemain matin, à l'aube, après avoir déjeuné copieusement, il partit à la découverte des environs avec son hôte.

En chemin, ils croisèrent la damoiselle à laquelle il avait tant pensé la veille.

"Eh bien, jeune damoisel, déclara mademoiselle de Biancourt, je vous présente le comte Godefroi de Hardi, et sa jeune épouse, Hélène. Ils logent tout deux au château depuis quelques mois, car leur demeure à été brûlée par des paysans en révolte."

L'homme baisa la main de la jeune fille, tentant de ne pas tenir compte des grands yeux bleus qui le fixaient. Les présentations faites, le clochard insinua un mal de tête pour s'en retirer en sa loge. Il ne savait plus que faire ; s'en aller ? C'eut été une insulte pour son hôte. Rester, et ne pas révéler son identité ? Il passerait pour un goujat. S'en aller parler à Hélène ? Il ne trouva pas de réponse à cette question. Après tout, il n'avait plus rien à perdre…

Il l'intercepta au coucher du soleil, alors qu'elle se retirait en ses appartements :

- Puis-je vous parler un instant ?
- Avec plaisir. Votre mal de tête est-il passé ? De quoi s'agit-il ?"

Il reconnaissait bien là son ancienne compagne : elle posait des questions sans même en attendre la réponse. Il bafouilla quelques instants, rougit devant la mine interloquée de sa dame puis énonça une phrase :

" Souvenez vous de notre amour…"

Après quoi il partit sans un mot, les yeux ruisselants de larmes.

Pendant des semaines qui lui parurent des mois, Hélène ne lui adressa plus la parole. Le jouvenceau désespérait que cet amour fut un sentiment partagé par l'élue de son cœur.

Un beau matin, alors que le brouillard planait sur la forteresse, le son d'une corne retentit . Les écuyers sortirent et nettoyèrent les chevaux ; les chevaliers revêtirent leurs armures et chaussèrent leurs étriers. La troupe s'en alla dans le bruit assourdissant des sabots sur les routes pavées.

C'est la guerre. Déjà, maints corps gisent sur l'herbe souillée par le sang de la haine. Les épées sifflent, les flèches volent. Un cri plus perçant que les autres ; c'est Messire Godefroi de Hardi qui tombe à terre, vaincu.

Hélène pleura beaucoup son défunt mari. Mais elle ne jura pas de garder le deuil. Car dans le château, quelqu'un qui avait déjà attendu trop longtemps… Elle prit le sentier pour retourner au fort.

Elle apercevait déjà, à la cime du donjon, un visage souriant. Elle hâta le pas et se retrouva bientôt à grimper les marches du hall avec son élégance habituelle. Au haut des marches, un homme était là, un homme qui lui ouvrit les bras… Ainsi que son cœur.

Un cri retentit au fond des bois : Brandy berce avec amour son premier enfant, Arthur, qu'Hélène viens de mettre au monde. Mademoiselle de Biancourt, qui a accouru en apprenant l'événement, pose un pied dans la sombre tonnelle et observe ses fidèles amis. Des larmes de joie coulent encore sur leurs joues roses de plaisir.

Leur fils unique deviendra le Roi sacré de Bretagne.

Retour en haut de la page

Mr Vertigo

Salut je m'apelle Claire, je voudrais vous parler de"Mr Vertigo".

L'auteur est Paul Auster, une des collections "Le livre de poche".

Le texte est marant, plein d'aventures et avec des rebondissements.

C'est l'histoire d'un enfant de neuf ans, Walt,qui vit dans les rues de Saint Louis aux Etat-Unis pendant les années trente, Walt va être recuelli par Mr.Yehudi qui va lui prometre de lui apprendre a voler.

Ils voyageront ainsi dans toute l'Amérique .

Ce livre m'a passioné, il vous passioneras vous aussi !!!!!!!!!!

Un poème pour toutes les mamans

Salut Vivien c'est Mél, je t'ai envoyée un mail avec un de mes nombreux poèmes et tu m'as fait le plaisir de le publier ! Je te remercie et t'en envoie un deuxième que j'ai écrit à l'occasion de la fête des mères :

Une rose, c'est beau, au commencement de sa vie, elle est verte, encore en bouton, elle laisse apparaître quelques rougeurs mais rien de tel à ce qu'elle pourra donner. Elle supporte les vents les plus violents et reste droite.

Ensuite, au grand soleil, elle sort les plus beaux pétales parmi ceux de toute les fleurs de la planète et de sa couleur pourpre, embellit le jardin.

Une maman c'est presque pareil ! Au commencement de notre vie, on ne la voit pas très nettement mais on sait qu'elle est quelqu'un d'important, de beau, de merveilleux et qui sent vraiment bon !

Puis elle laisse apparaître devant vous ses magnifiques yeux aux couleurs si profondes et aimantes.

Elle reste debout face aux problèmes et se bat, on l'admire ...
On sait aussi qu'un jour elle se fanera et s'envolera, laissant place à d'autres fleurs mais laissant aussi de superbes souvenirs ensoleillés.

La seule différence entre les mamans et la rose, c'est que les mamans, elles, n'ont pas d'épines !

A ma maman.
Mél ( 15 ans )

Retour en haut de la page

En scène les 6èmes

Salut,
je m'appelle JUSTINE et j'ai adoré le livre "En scène les 6èmes" dans la collection Cascade.

Il parle d'une jeune fille qui aime le théatre. Elle décide d'aller en faire pendant midi.

Là-bas, elle rencontre Samuel...

Une bonne occasion pour se moquer de la directrice !

Justine

Le silence de Nastasia

Salut Vivien !

Je t'écris en ce moment dans le silence, ce dont parle mon poème.
Je m'appelle Nastasia, pas Anastacia comme la chanteuse, non bien Nastasia, mais l'on me surnomme Nas. J'ai douze ans, comme toi. Je suis de Firminy, à côté de Saint-Etienne. Je joue aussi de la guitare depuis deux ans, je pratique du karaté, j'aime bien le football, j'adore lire et par dessus tout écrire. C'est pour ça que je t'envoie cette poésie. J'espère qu'elle te plaira.

Silence,
Il est là.
Les yeux fermés
Et les oreilles grandes ouvertes,
Nastasia, moi, l'entend
Ce calme me donne l'impression d'
Etre seule au monde, ce que je déteste.

Retour en haut de la page